HD1 – Sucker punch

Alors qu’elle vient à peine de perdre sa maman, la jeune fille se retrouve avec sa petite sœur sous l’autorité d’un beau-père libidineux, qui ne va pas tarder à abuser de leur innocence. Babydoll se rebelle, mais la situation se retourne contre elle, l’adolescente va se voir accusée à tort d’avoir provoqué la mort de sa jeune sœur.

Internée dans un asile aux allures de camp de concentration, Lennox House, elle décide de s’enfermer dans un monde imaginaire, pour mieux s’évader de son quotidien. Cet univers parallèle a lui-même plusieurs dimensions, dans lesquelles Babydoll s’égare pour mieux se retrouver. Là, elle est une guerrière, une jeune femme forte, fière et sûre d’elle, en totale opposition avec son nom et son image de poupée de porcelaine…

Un film qui tient ses promesses donc, on en ressort scotché par tant d’énergie et de créativité visuelle. Zack Snyder a un sens très aigu du détail et de la mise en scène, par exemple, on sait que le destin de Babydoll est gravé sur la lame du sabre qui lui sert pour tous ses combats. Seul le scénario pêche un peu parfois par des raccourcis faciles ou des caractères secondaires trop consensuels, mais dans l’ensemble, le film tient la route.

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