Gel du consensus sur le réchauffement climatique

Ce qu’on appelle maintenant le « Climategate » est maintenant bien connu puisque depuis quelques mois cette affaire fait les choux gras de nos journaux tant papiers que sur internet comme cet article de rue89 dans lequel on lit des phrases édifiantes telles que :

Entre 2006 et 2007, l’impact estimé du changement climatique sur le
PIB a été multiplié par dix ! Pielke avait déjà signalé cette erreur à
l’époque dans le milieu scientifique, mais cela était passé inaperçu.

Il explique à Rue89 :
– « Ce sont des erreurs graves, destinées à rendre les conclusions
plus alarmantes, pour que ça parle plus au public. »

Comme Paul Reiter, entomologiste à l’Institut Pasteur qui s’est
confié au Figaro :
– « Des concepts erronés ont été introduits par des non-spécialistes
du sujet. (…) Souvent, le Giec cherche le consensus au détriment de la
science. Aujourd’hui, on m’accuse d’être sceptique. Je veux juste être
scientifique. »

Il est intéressant de noter qu’Onirik il y a déjà 3 ans dénonçait le fameux consensus scientifique notamment en donnant la parole à Christopher Monckton qui avait mis au grand jour les mensonges du film d’Al Gore.

D’autres media sur internet tel que le Cercle Zététique ou Climateaudit.org dénonçaient eux aussi et bien avant nous les contre-vérités scientifiques, l’absence de consensus et les manipulations de quelques uns.

Curieusement tout cela était resté lettre morte dans nos quotidiens et hebdomadaires nationaux si ce n’est pour se moquer de ces « vilains sceptiques ». Les mêmes journaux qui aujourd’hui parlent de Climategate.
On ne peut que continuer de constater le piètre état de la presse française au garde-à-vous d’un pouvoir que seul internet arrive à contrer actuellement. De là à voir le lien avec les lois répressives liées à HADOPI et LOPSSI 2 le retour il n’y a qu’un pas.

Néanmoins, il faut se garder d’avoir une petite pensée émue pour la néo-secte des réchauffistes qui voient leur croyance finir comme Challenger, ils trouveront autre chose d’ici peu de temps.

La religion universelle du XXIe siècle ne mourra pas tout de suite.