– Deux hommes entrent, un homme sort !
Dans l’Australie post-apocalyptique, la ville de Bartertown est dédiée au troc qui remplace le vol. Le nouveau venu Max est venu récupérer son véhicule tiré par des chameaux[[introduits en Australie au XIXe siècle]] qui lui a été dérobé à l’extérieur par le pilote Jedebiah (Bruce Spence)[[bien qu’il s’agisse du même acteur et qu’il soit à chaque fois pilote d’un engin aérien improbable, il ne s’agit pas du même personnage que celui apparu dans Mad Max 2 : le défi]].
On lui explique les règles : les conflits et querelles personnelles sont réglés par un duel à mort dans une arène, le « Dôme du Tonnerre » (Thunderdome), afin d’éviter les vengeances et les luttes de clans.
Une fois que Max aura trouvé son voleur, il pourra régler leur différend par un duel. En attendant, l’usage et la possession d’armes sont interdits dans la ville.
Or, Jedebiah est reparti. Le véhicule de Max se trouve à présent entre les mains de Blaster (Paul Larsson) le garde du corps de Master (Angelo Rossitto). Cet ingénieur nain contrôle l’énergie de la ville grace à l’exploitation du méthane provenant du lisier de porc[[l’Australien George Miller ne s’est pas encore aperçu que son pays natal produisait du pétrole ! ]].
Et c’est alors que se manifeste Entity (Tina Turner). Cette chef de bande dirige officiellement Bartertown. Mais à chaque fois qu’il se produit un conflit avec « Master » celui-ci coupe l’énergie de la ville. Or, tout pourrait changer si le « Master » perdait son garde du corps géant.
Il suffit que Max défît Blaster dans l’arène. Les règles y sont simples : « Deux hommes entrent, un homme sort ».
Ce troisième volet de la série originale Mad Max voit moins de poursuite en voiture sauf dans le final. On remarquera que George Miller a repris des personnages du deuxième volet : enfant sauvage, femme guerrière, combattant masqué, pilote « d’avion » tendant des embuscades (le changement dans la continuité?)