– Non d’une licorne !
New-York, décembre 1926 : l’entretien bancaire de Jacob Kowalski (Dan Fogler) a tourné au désastre, principalement suite à l’intervention d’un dénommé Norbert Dragonneau (Eddie Redmayne) qui semble posséder des pouvoirs surnaturels. Kowalski a à peine eu le temps de récupérer sa valise à terre et de s’enfuir. Une fois chez lui, il réalise que la valise avec laquelle il est parti est certainement celle de Dragonneau comme le prouve l’étrange créature qui en surgit et qui… le mord !
Sorti de son évanouissement, Kowalski se retrouve en présence de Dragonneau et de Tina Goldstein (Katherine Waterston). Il apprend que Dragonneau est un sorcier magizoologiste britannique et que Goldstein est une Auror (chargée de la lutte contre les forces du Mal).
Hébergé chez Tina, Jacob fait la connaissance de la sœur de cette dernière la ravissante Queenie (Alison Sudol) qui déclare que « de nombreux hommes pensent la même chose que vous lorsqu’ils me voient pour la première fois » . Quoi ? Explications : Queenie est une « legilimens » capable de… comment dire ? Découvrir ce que Jacob pense d’elle ? Ben oui.
Bon, y a t-il d’autres problèmes ? Oui, des animaux de Dragonneau manquent à l’appel, des destructions mystérieuses d’origine magique se produisent dans la ville, le Mage Noir Gellert Grindelwald (Johnny Depp) est toujours activement recherché, tandis que les Moldus ont créé la secte des Fidèles de Salem.
Basé sur le livre Les Animaux fantastiques écrit par Norbert Dragonneau (à moins que ce ne soit J. K. Rowling) ce film donne une large place aux simples mortels (Moldus) dont Kowalski devient le représentant maladroit.
Parallèlement le choix du grand méchant de l’histoire en la personne de Gellert Grindelwald qui sera la némésis de Dumbledore procure un fort lien avec les films de la saga d’Harry Potter.