Comme tous les enfants de son âge, Arthur est fasciné par les histoires que lui raconte sa grand-mère pour l’endormir : ses rêves sont peuplés de tribus africaines et d’inventions incroyables, tirées d’un vieux grimoire, souvenir de son grand-père mystérieusement disparu depuis quatre ans.
Et si toutes ces histoires étaient vraies ? Et si un trésor était véritablement caché dans le jardin de la maison ? Et si les Minimoys, ces adorables petites créatures dessinées par son grand-père, existaient en chair et en os ? Voilà qui aiderait à sauver la maison familiale, menacée par un promoteur sans scrupule !
Du haut de ses dix ans, Arthur est bien décidé à suivre les indices laissés par son grand-père pour passer dans l’autre monde, celui des Minimoys, et découvrir les sept terres qui constituent leur royaume…
Avis de Cécilia
Il n’y a pas à chipoter : Arthur et les Minimoys est irréprochable. Les cinq années de travail acharné de 700 personnes dont 100 graphistes ont payé. Aucun accro ne perturbe les images aussi bien réelles que « bidouillées ». La bande sonore est exemplaire. Le scénario
Luc Besson a dirigé ses acteurs avec maestria sans borne. La photographie générale est lumineuse. Enfin, les références cinématographiques innombrables dont celle à l’Empereur de Star Wars agrémentent le tout.
Aucun anachronisme, aucune vague, aucun grain de sable ne vient enrayer la machine (trop !) bien huilée.
Mon problème se situe exactement là avec ce film : Luc Besson en oublie son humanité en
Fiche Technique
Genre : animation
Avec Freddie Highmore et Mia Farrow côté classique et, pour l’animation, les voix de Madonna et Mylène Farmer pour Selena ou David Bowie et Alain Bashung pour Maltazard. On compte également Marc Lavoine, Jean-Paul Rouve, Valérie Lemercier, José Garcia, Stomy Bugsy ou Dick Rivers pour la VF.
Durée : 95 minutes
Année de production : 2005
Date de sortie : 13 Décembre 2006
Budget : 65 millions d’euros