Entretien exclusif avec Bénabar

Jeudi 09 février 2006

Q : Pourquoi avez-vous choisi de chanter le quotidien ?

R : Ce n’est pas vraiment un choix. Ça vient comme ça.

Q : Cherchez-vous à faire passer un message ?

R : Non ! Il n’y a pas d’idées à faire passer. J’essaie d’écrire des chansons pas trop connes.

Q : Mes deux chansons préférées : Le Slow et À votre Santé. Et la ou les vôtre(s) ?

R : Ça dépend des concerts. Des fois, elles soûlent. Quand elles sont trop ou mal jouées.

Q : Vos références musicales ?

R : Très large. Elles ne passent pas que par des chansons à texte comme Brel, Brassens ou Renaud.

Q : Les festivals comme solidays sont-ils importants ? (Étant bénévole sur le festival organisé par Solidarité Sida, sur cette question, il gagne des points si tant est que ce soit encore possible).

R : Oui ! Mais, Solidays est très ambigu car c’est une super cause et, en même temps, Solidays est un festival en tant que tel.

Q : La scène, c’est important ?

Central !

Q : Le mot de la fin. Je termine toujours par la même question : quelque chose à nous dire ?

Aucune déclaration.

Je serais dans le public aux prochains concerts parisiens : Folies Bégères à la fin du mois de février 2006 et au du Zénith en juin 2006. Comme d’habitude depuis Solidays 2001. Mon entourage me répondrait :  » Encore ! « .

Bah, oui ! Encore ! J’assume le statut de fan.