TMC – Ready Player One


– Je suis né en 2027 après la pénurie de sirop de maïs, après la guerre de la bande-passante, après que les gens ont arrêté de résoudre les problèmes et se sont contenté de faire avec.

2045, une fois de plus Wade Watts (Tye Sheridan) se connecte à l’Oasis. Ce jeu de réalité virtuelle permet à chacun de vivre ses rêves et à participer à des épreuves. Mais comme bien d’autres joueurs Wade s’efforce de gagner une course de voitures. Sur sa DeLorean DMC-12 de Retour vers le futur il évolue entre les autres concurrents et les nombreux obstacles.

Depuis cinq ans, personne n’a jamais terminé la course. Il est vrai qu’un élément perturbateur nommé King Kong empêche l’accès à la ligne d’arrivée. Pourtant, il faut à tout prix passer cette ligne. Celui qui réussira obtiendra une des clefs permettant d’accéder à l’easter egg (« œuf de Pâques ») dissimulé caché dans l’Oasis. Il y a été caché par James Halliday le fondateur de l’Oasis. À sa mort, il a légué sa fortune de 500 milliards de dollars et le contrôle de l’Oasis à celui qui découvrira l’easter egg.

C’est le début d’une succession d’épreuves impliquant autant les réflexes que la connaissance de la culture pop. Mais parallèlement aux joueurs individuels ou aux clans les joueurs mercenaires de la société IOI.

Cette adaptation du roman Player One d’Ernest Cline implique un contexte de science-fiction associé à la culture de la fin du XX° siècle. Du monde des super-héros à celui des jeux vidéo, en passant par le film Shining, les références sont abondantes.

Savamment entretenu, le sentiment de nostalgie se développe lorsque le spectateur aperçoit tel personnage ou telle allusion au coin de l’écran.

Du grand Spielberg.