Portrait Chtinois, spécial frites : Stéphanie Pélerin

N’oubliez pas de noter la date du Salon dans votre agenda (et de venir à Sailly-Labourse !), soit le 3 juin et pour plus d’infos, connectez-vous sur le site !

Onirik : Pouvez-vous présenter votre pomme en quelques mots ?

Stéphanie Pélerin : Je suis blonde, à forte poitrine… ah bon, tout le monde s’en fout. Je suis une bonne vivante, je ne me prends pas au sérieux. Et de fait, j’écris comme je vis.

Onirik : Comment aimez-vous vos frites (en accompagnement de quoi, et quelle sauce !) ?

Stéphanie Pélerin : Je les aime pas trop cuites et avec de la mayo !

Onirik : Et avec quoi les arrosez-vous ?

Stéphanie Pélerin : Avec une bonne pression hyper fraîche, of course !

Onirik : Qu’est-ce qui en général vous donne la patate ?

Stéphanie Pélerin : Les marques gratuites de gentillesse.

Onirik : Au contraire, qu’est-ce que vous ne digérez pas au quotidien ?

Stéphanie Pélerin : La médisance, gratuite, elle aussi.

Onirik : Pour vous, quelle est la meilleure préparation de frites (fines, épaisses, sautées, etc.) ?

Stéphanie Pélerin : Coupée façon steakhouse

Onirik : Quel est votre genre littéraire de prédilection, et celui où vous vous sentez à l’étroit ?

Stéphanie Pélerin : Pour l’instant, je n’ai écrit que deux romans (le second étant la suite du premier). J’aime écrire des choses qui font rire (en tout cas, j’essaie). A l’avenir, je voudrais ouvrir mon éventail : roman de société, roman pour la jeunesse.

Je pense que je n’arriverai jamais à écrire de polar (je serais capable de ne pas trouver mon propre coupable), ni de la SF pure car mon cerveau refuse de se projeter dans des univers trop différents du nôtre.

Onirik : Est-ce que vos héros aiment les patates ?

Stéphanie Pélerin : Je vais les interroger. Si ce n’est pas le cas, je les vire.

Onirik : Qu’étiez-vous prête à imposer à Richard Angevin pour qu’il sorte sa baraque à frites pour le Salon (des détails bien croustillants seraient appréciés) ?

Stéphanie Pélerin : J’étais prête à ressortir mon costume de Bunny. Heureusement qu’il a cédé très vite pour les frites… car je crois que je ne rentre plus dedans.

Onirik : Quelle est votre actualité brûlante ?

Stéphanie Pélerin : Brûlant, brûlant, je ne sais pas. Mais je viens présenter mon deuxième roman qui parle des femmes qui veulent continuer à mener leur vie de femme, même en étant épouse et maman.

Onirik : Un petit mot pour les visiteurs d’envie de livres pour leur mettre l’eau à la bouche ?

Stéphanie Pélerin : Mon premier livre est en poche : l’occasion de découvrir mon écriture à prix léger.