Portrait Chtinois 2020 : Aurélie Wellenstein

Cette année, le thème du Salon est l’urban fantasy, quoi de mieux pour exciter l’imaginaire des lecteurs comme celle de nos chers auteurs !

Découvrons Aurélie Wellenstein, dont on devine la sensibilité derrière chacun de ses mots ! Elle vous lance à défi en fin de questionnaire : une formule magique à lui scander sur son stand… Elle vous y attendra !

Si vous étiez un type de bleu, quelle nuance ? Le bleu est souvent choisi pour les couvertures de romans d’urban fantasy ?

Aurélie Wellenstein : L’azur du ciel, les mers turquoises, le bleu nuit… J’aime passionnément le bleu.

Si vous étiez le dessert favori d’un vampire ?

Aurélie Wellenstein : La glace aux myrtilles.

Si vous étiez un type de paysage à faire rêver un loup-garou, ce serait lequel ?

Aurélie Wellenstein : la surface de la lune.

Si vous aviez le pouvoir de changer votre apparence comme un fae, vous seriez comment ?

Aurélie Wellenstein : Un loup forcément.

Si vous pouviez vous transformer en n’importe qu’elle forme animale comme un métamorphe, laquelle éliriez-vous ?

Aurélie Wellenstein : Le loup, sans surprise !

Si vous deviez lutter contre une attaque de zombies aux Halliennales, avec quelle arme ou pouvoir vous défendriez-vous ?

Aurélie Wellenstein : Max Brooks recommande le pied de biche : léger, maniable, apte à briser des crânes. Non testé, mais je veux bien le croire.

Présentez-nous votre univers et votre (ou vos) dernière sortie ?

Aurélie Wellenstein : Yardam est sans doute le plus « urban » de tous mes romans puisqu’il se déroule intégralement entre les murs d’une ville. Mais il n’y a nulle créatures magiques ; les monstres y sont les hommes. La folie s’y répand de façon virale, par voie sexuelle.

Y-a-t-il une formule magique que les visiteurs des Halliennales doivent annoncer avant de vous rencontrer ?

Aurélie Wellenstein : Si six cents sangsues sont sur son sein sans sucer son sang, ces six cents sangsues sont sans succès (good luck !)