Les morsures de l’ombre

Fleuve Noir nous fera découvrir à partir du 8 novembre le troisième roman de Karine Giebel. Cette jeune auteur française n’est pas inconnue des passionnés de livres policiers. Son premier thriller Terminus Elicius – récompensé par le prix du polar Marseillais 2005 – teinté d’une certaine poésie, nous entraînait vers les portes de la folie, Meurtres pour rédemption complètement différent nous faisait rencontrer la violence brute de l’univers carcéral. Avec Les morsures de l’ombre, Karine Giebel nous offre cette fois, une intrigue machiavélique dans l’atmosphère étouffante d’un huis clos.

Résumé de l’éditeur

Un homme se réveille dans la grisaille d’une cave. Il est étendu par terre, transi de froid, sans savoir ce qui a pu l’amener dans cette situation. Puis arrive une femme, sublime, et quelques bribes de souvenirs lui reviennent. Une panne de voiture… un geste de secours, poli, chevaleresque même… une invitation à boire un verre au domicile de la dame. Puis plus rien.

Pourtant la jeune femme semble le connaître. Pire, elle lui reproche quelque chose dont il n’a pas la moindre idée. Il doit avouer un crime dont il ignore tout. Réussira-t-il à la convaincre? S’agit-il d’une mauvaise plaisanterie, le relâchera-t-elle une fois lassée de ce jeu cruel? Petit à petit, l’homme se rend compte que la situation n’a rien d’un jeu, et que, pour se sauver, il lui faudra se montrer plus fort, plus habile, plus rusé que sa tortionnaire. Car c’est sa vie qu’il joue, rien de moins…