Armageddon, la comédie musicale

Suite à une explosion nucléaire, nous vivons, pauvres terriens, dans une société post-apocalyptique. Le XXIe siècle a pointé le bout de son nez. Et, il n’est pas religieux comme on pourrait le croire à l’heure actuelle. En effet, le nouveau Dieu s’appelle télévision.

Depuis toute gamine, je suis fascinée par l’image aussi bien cinématographique que télévisuelle. À tel point que j’ai créé La Petite Lucarne et Les Cinéphiles du Monde, deux listes de diffusion dont les titres sont très clairs. Parallèlement à cela, j’aime lire. Donc, on imagine aisément ce que je pense d’un roman sur la télévision.

Or, j’ai été très déçue par celui-ci. L’auteur se veut drôle et spirituel. Mais, il tombe sans cesse à côté. Pourtant, il est visionnaire en matière d’évolution de la télévision de d’explosion de la télé-réalité. En effet, ce roman est publié pour la première en 1988. Il a donc une bonne longueur d’avance sur non tous. Un premier bon point malgré ma réticence.

Malheureusement, mes réticences se sont amplifiées au fur et à mesure de la lecture. Comme je l’ai déjà évoqué, je n’aime pas la fantasy car je trouve que les auteurs prennent leurs lecteurs pour des enfants dans le meilleur des cas ou des abrutis dans le pire. Ce qui m’a le plus perturbée, c’est le non-sens britannique souvent incompréhensible.