Un printemps à Blossom Street – Avis +

Présentation de l’éditeur

« Blossom Street, c’est une petite rue de Seattle, encore préservée et pleine de charme. Un endroit où il fait bon vivre, et où me quotidien a un parfum de bien être.

Blossom Street, c’est aussi tout un univers. L’univers de Lydia, une femme attachante et un exemple de courage, celui de Carol, qui s’apprête à affronter les difficultés de la maternité, de Jacqueline, dont le couple est en crise et qui rejette sa belle-fille, et d’Alix, qui a du mal à donner un sens à sa vie d’adulte.

Dans ce roman, Debbie Macomber nous fat partager la vie de ces quatre femmes que tout sépare et oppose, mais qui vont se retrouver indissolublement liées les unes aux autres. De cette alchimie, où alternent scènes dramatiques et cocasses, intenses et émouvantes, douces-amères et drôles, ironiques et chaleureuses, naissent ces petits riens de la vie qui se transforment  » en un récit extraordinairement touchant. »

Avis de Lalalilalou

Un printemps à Bossom Street est l’histoire de quatre femmes, d’âges et de milieux différents, rassemblées suite à l’ouverture d’une nouvelle boutique. Lydia, une jeune femme d’une trentaine d’années, après avoir surmonté à deux reprises l’épreuve d’un cancer, a choisit d’aller jusqu’au bout de son rêve et d’ouvrir une boutique sur le thème de sa passion : le tricot. Elle souhaite ainsi également faire découvrir, à travers des cours, cette activité qui pour elle a des vertus épanouissantes et apaisantes.

La boutique de Lydia, « Au fil des jours », permet à Alix, Jacqueline et Carol, d’apprendre les bases du tricotage, mais également de développer une vie sociale et des amitiés. Si certaines d’entre-elles ont des difficultés dans leurs relations aux autres, étant au départ timides, rebelles ou austères avec des opinions très arrêtées, le roman dépeint l’évolution de leurs relations au contact des autres et des séances de cours de tricot. Les quatre femmes apprennent à se connaître, à se comprendre, à tisser des amitiés ; comme l’on monte une maille, petit à petit, en passant par des erreurs, en revenant dessus et essayant de les corriger, parfois plusieurs fois, en persévérant dans sa volonté de réussir, et en comprenant ses fautes pour éviter de les reproduire.

Bien que certains aspects des personnalités des personnages manquent parfois de profondeur et que certains passages du récit peuvent sembler un peu rapides et succincts (enfin peut être est-ce dû à la rapidité avec laquelle on peut « dévorer » le roman !), l’auteur nous tient cependant en haleine tout du long. On peut passer du rire aux larmes, pour ensuite ressentir à nouveau la joie que l’on partage aux moments heureux vécus par ces personnages attachants.

Le livre est également agrémenté, en tête de certains chapitres, de citations choisies évoquant les joies, qualités et intérêts du tricot, et qui peuvent donner envie au lecteur (et peut-être surtout aux lectrices) d’en apprendre plus, ou de découvrir cette discipline.

« Le tricot est un moyen apaisant d’exprimer sa créativité, qui peut se transformer en un vêtement chaud confectionné avec amour. Quel avantage! » – Meg Swansen, Schoolhouse Press

Si ce roman peut se suffire à lui-même, son appartenance à une série donnera surement envie aux lectrices de se procurer la suite…

A Propos de l’auteur

Avec plus de 100 millions de livres vendus, traduits en 23 langues, Debbie Macomber s’est imposée comme l’une des nouvelles stars du roman féminin. Ce roman, le premier de la série Blossom Street, paraît pour la première fois en France en grand format. Tous ont été classés dans la liste des meilleures ventes du New York Times et de Publishers’ Weekly.

Fiche Technique

Format : broché
Pages : 370
Editeur : Harlequin
Collection : Jade
Sortie : 1er avril 2009
Titre Original : The shop on Blossom street
Prix : 11,50 €