Transformer : The Last Knight – Avis +

Présentation du film

The Last Knight fait voler en éclats les mythes essentiels de la franchise Transformers, et redéfinit ce que signifie être un héros. Humains et Transformers sont en guerre. Optimus Prime n’est plus là…

La clé de notre salut est enfouie dans les secrets du passé, dans l’histoire cachée des Transformers sur Terre. Sauver notre monde sera la mission d’une alliance inattendue : Cade Yeager, Bumblebee, un Lord anglais et un professeur d’Oxford. Il arrive un moment, dans la vie de chacun, où l’on se doit de faire la différence.

Dans Transformers : The Last Knight, les victimes deviendront les héros. Les héros deviendront les méchants. Un seul monde survivra : le leur… ou le nôtre.

Avis de Hiromichi

Dans une société où les Transformers sont pourchassés, il existe des zones interdites où les autorités savent que certains d’entre eux se cachent. C’est dans une de ces zones qu’une bande de gosses va s’introduire en recherche d’un peu de frisson, mais ces derniers se mettent en danger. Ils sont sauvés in extremis par une gamine (Izabella) qui a l’air de vivre dans les décombres. Son apparition ne suffit cependant pas à les sortir d’affaire. C’est l’arrivée de Cade Yeager qui leur permettre de rester sains et saufs…

Cade Yeager est le héros du précédent opus de la saga, c’est un inventeur/ingénieur qui aide illégalement les Transformers. Il lutte pour une acceptation de ces derniers, car comme les hommes, ils ne sont pas tous mauvais. Face aux Deceptions (les Transformers dominateurs et virulents), les Autobots essaient de s’intégrer (cachés puisqu’ils sont poursuivis) et d’aider les humains. Mais le T.F.R (Transformers Reaction Force) ne le voit pas ainsi, pour eux il faut mettre tous les Transformers hors d’état de nuire.

En parallèle, des cornes géantes apparaissent sur Terre. Et s’ajoute à cette curieuse situation la menace de Cybertron, la planète des Transformers, de détruire la Terre. L’armée se voit alors obligée de collaborer avec Mégatron pour que ce dernier puisse récupérer un artefact qui lui permettrait d’éloigner Cybertron…

Ce volet permet également d’aller plus en profondeur concernant les liens des Transformers avec la Terre qui touchent même aux légendes arthuriennes. On apprend en outre pourquoi la planète bleue semble être un aimant à problèmes, et pourquoi c’est la destination favorite des Transformers.

Dans ce cinquième film, il y a beaucoup d’éléments et d’actions qui se déroulent en parallèle. De nombreux personnages – qu’ils soient humains ou Transformers – apparaissent et les présentations de ces derniers sont curieuses, voire complètement décalées.

À côté de ces détails, le film est ce qu’il est : un blockbuster fait pour nous en mettre plein la vue, sans aucune limites ! Il mélange de nombreuses références, avec par exemple la légende des chevaliers de la Table ronde. Il affiche clairement sa marque de fabrique, il en fait trop et on n’a vraiment pas une seconde pour souffler et cela même pendant les scènes de remplissage (le film dure 2H30).

C’est un pur divertissement qui maintient un rythme d’enfer, les confrontations sont, en effet, nombreuses et grandioses. Les répliques font mouche et assume fièrement son côté kitch.

Tranformers : the Last Knight n’est pas calibré pour plaire à tout le monde, mais ceux qui iront le voir obtiendront ce qu’ils sont venus chercher : de l’action à tout va, de multiples personnages, une histoire tarabiscotée… Mais aussi tout ce qu’on aime retrouver dans ce genre de films, c’est-à-dire des amitiés fortes et un humour permanent. Ce volet ne révolutionne absolument pas la saga, mais il relance une suite qu’on ira voir avec intérêt.

Fiche technique

Sortie : 28 juin 2017

Avec Mark Wahlberg, Isabela Moner, Anthony Hopkins…

Genre : action

Distributeur : Paramount Pictures France