Scorpion : résultat du jeu

Le gagnant, Michel G., a accepté de répondre à quelques questions :

Onirik : Quel effet cela vous fait d’avoir gagné ?

Michel G. : Cela me met dans un état de joie extraordinaire ! La première raison est que mon dernier gain toutes catégories confondues remonte à fort longtemps et la seconde c’est que j’avais très envie de voir Scorpion. Je suis donc aux anges.

Onirik : Comment avez vous connu Onirik ?

M.G. : La vie est faite de rencontres et j’ai la chance de côtoyer une personne formidable dans le cadre professionnel. C’est ce collègue qui m’a parlé d’Onirik et m’a encouragé à consulter le site régulièrement. Sans lui, j’aurai pu passer à côté de ce site (difficilement certes, mais tout est possible) et je le remercie de m’avoir montré la « voie ».

Onirik : Nous savons de source sûre que Onirik est votre site culturel préféré, pourquoi ?

M.G. : Ce qui me plaît dans ce site c’est bien évidemment la multiplicité des sujets abordés mais aussi le ton ou plus précisément la variété de tons que l’on trouve dans le traitement des articles.

J’ai été ravi d’apprendre que le site était recensé par les organes de veille des médias et cela a conforté l’idée de valeur que j’ai d’Onirik.
Pour finir je dirai longue vie à Onirik et merci à son équipe.

Chronique de Michel G.

Clovis Cornillac ou l’homme à l’orteil de Brice de Nice

C’est en connaissance de cause et pas forcement rassuré que je suis allé visionner ce film, en effet je ne connaissais pas les sketches de Brice et n’était poussé que par la probabilité non négligeable de rire un bon coup, la bande-annonce ayant fait son effet.

Par rapport à cet objectif ambitieux je reste mitigé. Je me suis bien marré mais je ne me suis pas non plus fait pipi dessus. Certaines vannes sont bonnes, d’autres moins, dont acte.

Ce qui m’a le plus surpris c’est le personnage campé par Clovis Cornillac, il arrive à rester en équilibre entre le débile profond et la brute au cœur tendre et ça marche pas mal du tout.

C’est ce même personnage qui me fera le plus rire lorsqu’il dévoilera son infirmité à son pote Brice. La course de lit est bien débile et fonctionne également pour moi qui je dois l’avouer garde un côté adolescent boutonneux rigolant d’un rien.

Au final, le côté dramatique me passe complètement au dessus du casque mais ce n’était pas le plus important, je dirai donc que le contrat est presque entièrement rempli et c’est pourquoi je donnerai la note de 6/10, enfin, si on me le demandait…