Portrait aliéné des Halliennales : Maxime Gillio

Maxime Gillio, c’est celui dont tout le monde dit : « S’il n’était pas là, il faudrait l’inventer« . Pour preuve, ses réponses au portrait aliéné, franchement, ça ne donne pas envie de le rencontrer vite, vite au détour d’une allée aux Halliennales ? Le rendez-vous est pris !

Héros légendaire :

Maxime Gillio : N’importe quel méchant dans un James Bond.

Film débile :

Maxime Gillio : Vos gueules les mouettes. Culte !

Animal foldingue dans sa tête :

Maxime Gillio : Une éditrice.

Plat :

Maxime Gillio : La banane trempée dans la sauce du gigot. Vieille tradition familiale.

Célébrité à camisoler :

Maxime Gillio : Sophie Jomain (NDLR : ah ah ah !)

Lieu dément :

Maxime Gillio : Le musée des Arts forains, à Paris, ou dans un autre registre, la grotte aux lucioles, à Altkirch.

Qualité de dérangé :

Maxime Gillio : La franchise

Défaut de folie :

Maxime Gillio : La franchise

Anecdote :

Je signais mon premier livre, Bienvenue à Dunkerque, dans un salon local, quand un jeune homme, visiblement atteint d’une certaine pathologie, prend mon livre et me demande : « Bienvenue à Dunkerque, ah ah ! Est-ce qu’il y a une scène place Jean-Bart ? (Note : la principale place de Dunkerque)  » Je réfléchis et lui réponds que non. « Ah ah !  » qu’il me répond en reposant le livre.

Puis il part. Bon. Le problème, c’est qu’il est repassé trois fois, avec toujours le même rituel. Il prend le livre, « Bienvenue à Dunkerque, ah ah ! Est-ce qu’il y a une scène place Jean-Bart ?  » Toujours pas, non… OK, le pauvre gars était visiblement dérangé. Mais la quatrième fois, ma voisine, flairant la vente, lui tend son propre roman en s’exclamant : « Dans le mien, il y a une scène place Jean-Bart ! » Et le gars de l’acheter.

Je tiens à préciser que cette romancière peu scrupuleuse (et mensongère, car son roman ne se passait pas à Dunkerque…) a été invitée trois fois à Envie de Livres. Mais je ne donnerai pas son nom. Enfin, pas tout de suite. (NDLR : Sophie, Sophie, Sophie !)

Projet :

Maxime Gillio : Mais enfin, le projet que j’ai à présenter aux Halliennales, ce sont les Halliennales elles-mêmes ! Tu sais à qui tu causes, là ?

Un petit mot :

Maxime Gillio : Je ne suis pas en train de répondre à ce questionnaire à 4 h du matin pour rien. Viendez !