Portrait aliéné des Halliennales : Alick

Il est difficile de faire mieux que la présentation de l’auteur sur son site internet, et franchement, si avec ça vous n’avez pas envie de le découvrir et le rencontrer… on vous propose de venir nous le dire le jour des Halliennales, sur place !

« Héritier des conteurs antillais, Alick partage sa passion du polar et du thriller fantastique à travers des récits contemporains, surprenants et haletants. Réservé à un public cependant averti, chaque ouvrage se donne pour mission de divertir, d’instruire et de séduire. Émotions garanties…

Hommage aux olympiades grecques, sa devise Mens Fervida In Corpore Lacertoso (un esprit ardent dans un corps musclé) le pousse sans cesse à relever de nouveaux défis afin d’entretenir corps et esprit simultanément. »

Si vous étiez un héros légendaire maboul :

Alick : le Joker

Si vous étiez le meilleur film débile de tous les temps :

Alick : White Chicks

Si vous étiez un animal foldingue dans sa tête :

Alick : un chat

Si vous étiez un plat sucré ou salé totalement givré :

Alick : un spacecake pudding

Si vous étiez une femme ou un homme célèbre à camisoler :

Alick : Socrate

Si vous étiez un lieu dément :

Alick : un sanatorium

Si vous étiez une qualité de dérangé :

Alick : sincère

Si vous étiez un défaut de folie :

Alick : asocial

Si vous étiez une anecdote cintrée qui vous est arrivée en dédicace (ou ailleurs) :

Alick : je présentais un polar assez fou justement, Miroir, et un homme arrive vers moi, me dit qu’il aime absolument tout ce que je fais et ajoute qu’il est venu car il m’avait vu à la télé (bien évidemment, je n’ai jamais présenté ce roman à la télé, donc ça m’a mis en alerte).

Nous avons discuté (considérons son long monologue comme tel) et il est parti en me souhaitant bonne continuation. Il ne connaissait ni mon nom, ni mon travail et est reparti sans ouvrage. Un autre auteur était en dédicace avec moi, et nous avons bien ri.

Si vous nous présentiez votre dernier projet que les visiteurs des Hallienales pourront découvrir :

Alick : Les Nécroparieurs sont de nouvelles créatures, inédites à ce jour dans le bestiaire fantastique. Nous connaissons déjà les sorcières, les fées, les elfes, les vampires, les lycans, et tant d’autres. Ici, je vous propose de découvrir des êtres humains ayant reçu la capacité de parier sur la mort de leurs semblables afin de récupérer l’espérance de vie restante.

Comme toute créature mythologique, le Nécroparieur est soumis à des règles que je vous laisserai découvrir, mais, en substance, chaque personne sur terre doit vivre 150 ans. Si quelque meurt à 20 ans et que le Nécroparieur a parié sur cette personne, il gagne 130 ans de vie. Mais s’il se trompe, il doit les rendre.

Le Nécroparieur n’est donc pas immortel. Il bénéficie juste d’une extraordinaire longévité et à travers ce roman, le lecteur est initié en même temps que le protagoniste amené à découvrir toute l’amplitude de la créature qu’il est devenu. C’est une véritable course contre la montre qui va débuter dès lors qu’il décidera de sauver l’une des personnes présentées dans le Jeu, une réunion mensuelle qui leur permet de parier.

À vous de lire l’histoire derrière l’histoire et de comprendre le point de vue choisi dans cette allégorie contenant mes thèmes de prédilection (la quête identitaire, le rôle individuel et l’amour).

Un petit mot pour eux ? :

Alick : Bonne lecture et à très vite…