Présentation de l’éditeur
« Ah, les joies de la famille… Les flambées de vampires, les batailles sanglantes, les coups de fouet, les séances de torture ludiques, les joyeux exorcismes… Tous ces petits bonheurs simples me reviennent à l’esprit depuis que grand-mère et les Vikaris m’ont retrouvée et ont débarqué en ville dans l’intention évidente de me liquider!
Nostalgie, quand tu nous tiens…»
Avis de Nancy
Un cinquième tome alléchant et, comme à l’accoutumée, bourré d’humour.
Exit les amours divers et variés que lui vouent tous les chefs de clan. Bien que ces liens soient présents, ils sont survolés au profit de la vie familiale de Rebecca. En effet, nous avons quitté notre chère sorcière de guerre en proie à une bien bonne surprise dans le dernier opus : sa grand-mère, Anthéa, était à sa porte. Oui, dans le Vermont !
Les Vikaris ont traversé l’océan pour faire la peau à notre chère amie. Enfin, trois d’entre elles et particulièrement Anthéa qui la défie en duel reniant le fait qu’elle puisse être la prima du clan, choisie par la déesse, elle la semi-démone…
S’en suit la destruction de son appartement et voilà Rebecca dans l’obligation d’aller vivre quelque temps chez Raphaël avec sa grand-mère, qui a décidé de la suivre partout.
Comme dans les romans précédents, l’Assayim est sur une enquête. Une histoire de meurtres particulièrement déroutants. En effet, l’assassin ne laisse aucune empreinte olfactive, ni magique. C’est à se taper la tête contre les murs. Aucun être qu’il soit démon, loup, vampire, muteur ni même chaman n’arrive à trouver une piste significative. Il faudra à Rebecca bien des galères, voire de côtoyer la mort pour comprendre un tant soit peu ce qui se trame.
Nous vous disions que ce tome était familial. En effet, Leo, la fille de Rebecca, aura une grande place dans cet opus et même un rôle primordial à jouer. Voilà qui donnera encore bien des soucis à notre Vikaris. D’autant plus qu’elle apprend au détour de plusieurs discussions avec Anthéa et ses acolytes, que Raphaël ne serait pas ce qu’il dit être. Ajoutons à cela des déboires avec Bruce et voilà la vie sentimentale et l’équilibre de notre amie bien chamboulés.
Un roman poilant ! Cassandra O’Donnell a toujours une plume bourrée d’humour, avec des réparties cinglantes et hilarantes. On ne s’ennuie pas une seconde. Le rythme est effréné et tendu mais a un côté léger aussi, qui ne nous suffoque pas et nous fait parcourir les pages avidement.
Il est à noter quelques coquilles qui viennent gâcher le récit mais, sans cela, la lecture n’est que pur bonheur.
Pour les fans de la saga, il est impératif de lire la suite !
Fiche Technique
Format : broché
Pages : 416
Éditions : J’ai Lu
Collection : Darklight
Sortie : 26 mars 2014
Prix : 12,20 €