Presque 5 ans après La pagode des brumes, Yoko Tsuno revient dans sa 24ème aventure : Le septième code.
Schéma classique, les bons, les méchants, un ancien missile nucléaire russe oublié de tout le monde sauf d’une bande de malfrats et qu’il faut empêcher à tout prix de faire décoller.
Le problème est que depuis 1970, c’est toujours le même rythme et le trait est identique depuis le cinquième album. Quand Yoko avait affaire avec ses amis de Vinéa, on se laissait au moins partir dans l’imaginaire de la science-fiction. Par contre ses dernières aventures terrestres sont un peu insipides, même si on sent que Roger Leloup se démène pour essayer de nous faire rêver comme au début de la série avec une ou deux petites inventions, comme lui seul sait les faire.
Si comme moi, le dernier opus vous a laissé froid, la relecture des anciens albums est toujours agréable, et les liens donnés par google nous conduisent vers des fans aussi attachants et humanistes que notre mousmé de papier.
Et les enfants aiment aussi, ainsi que mon épouse préférée d’ailleurs, comme ça je suis tranquille, au moins de ce côté là …