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Plus qu’une critique des remarques éventuelles pouvant vous apporter un plus à la vision ou re-vision d’un film.

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Le 10 mars 2012 - Présence d’Eric Rohmer - Avis +

Une soirée passionnante consacrée à des films inédits d’Eric Rohmer, ses films pédagogiques des années 1960 qui sont aussi un terrain d’expérimentation pour son œuvre à venir


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Le 1er juillet 2010 - Hésitation, analyse par Francesca

Ce troisième opus de la saga est sans conteste un film réussi qui allie finalement action et romance avec réussite et qui comblera les fans de tous bords, mais probablement les amateurs d’un peu plus d’action également.


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Le 18 juin 2009 - Terminator Renaissance

Il fallait toute l’intelligence de Totoffe pour décrypter correctement le dernier opus de la série Terminator...


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Le 9 juin 2009 - Troy
Qu’attendre d’un film sur la guerre de Troie ? En pénétrant dans la salle de cinéma je ne savais pas encore ce qu’il fallait escompter. La bande-annonce effrayait un peu mais les acteurs étant à priori ce que l’on peut appeler de bons acteurs c’est sans grande crainte que le film débuta. Là je remercie le réalisateur de nous avoir fait prendre conscience très rapidement que nous assistions à une infâme production d’outre-atlantique. Certes, l’exercice était dur car finalement sur quels récits se baser (...)
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Le 9 mars 2009 - De l’inspecteur Harry à Gran Torino

La phrase qui immortalisa Clint Eastwood :« I know what you’re thinking : "Did he fire six shots or only five ?" Well, to tell the truth, in all this excitement, I’ve kinda lost track myself. But being this is a 44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you’ve got to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?" Well, do you, punk ? » [1] phrase qu’il prononça au début du fameux Dirty Harry (L’inspecteur Harry)... et à la fin ! Phrase répétée dans le second opus Magnum force, et à laquelle il fait déjà un clin d’oeil dans le numéro trois The enforcer (L’inspecteur ne renonce jamais)... sans oublier que, dans la quatrième aventure de Harry qu’il met lui-même en scène, lorsqu’un voleur demande : qui va m’empêcher de sortir, Clint Eastwood sort alors son arme et répond : « Smith & Wesson... and me ». [2]


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Le 28 mai 2008 - Un palmarès de Cannes très politique

Lors de la cérémonie d’ouverture du 61e festival de Cannes, Sean Penn a déclaré qu’il voulait récompenser les films en relation directe avec le réel. Le choix du jury dimanche a été totalement dans ce sens.


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Le 5 mai 2008 - 3H10 pour Yuma : deux versions, deux "Amérique"

Intéressant de comparer deux versions d’une histoire faite pour la première en 1957 et pour la seconde en 2008. Dans un coin perdu de l’ouest américain, alors que le chemin de fer apporte la civilisation mais entraîne aussi l’expropriation et la spéculation, un père de famille exploité et à bout de ressources décide pour que sa famille puisse survivre, d’amener un bandit renommé jusqu’au train de 15H10 qui part le lendemain pour la prison de Yuma, et ce moyennant une prime. Entreprise qu’il sait désespérée puisque les compagnons du prisonnier feront tout pour le faire évader.


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Le 11 février 2008 - Shine a light en ouverture à Berlin
Berlin 2008, c’est parti ! Pendant 10 jours, la Berlinale permettra de découvrir le cinéma du monde entier. Le prestigieux festival de Berlin a ouvert jeudi en chansons (tout comme l’an dernier avec La môme d’Olivier Dahan) avec la projection hors compétition du documentaire très attendu de Martin Scocese qui filme les Rolling Stones pendant deux heures lors d’un de leur concerts : Shine a light. Les papys du rock étaient à la conférence de presse qui a eu un énorme succès. Ce n’est pas la première (...)
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Le 30 septembre 2007 - Hannibal Lecter : analyse des origines du mal
Analyse d’Enora Mon propos ici n’est pas ici d’expliquer en quoi ce film est une réussite, Val l’a très bien exposé dans sa critique. Le scénario signé par Thomas Harris, l’auteur de cette saga, commence par déstabiliser le spectateur par une scène particulièrement dure et réussit une montée en puissance dans l’horreur en alternant séquences calmes et séquences ultra violentes. Le réalisateur Peter Webber (la jeune fille à la perle, 2003) crée un film d’atmosphère avec comme toujours chez lui de superbes (...)
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Le 23 septembre 2007 - La loi du désir - Avis +
Pablo Quintero est un cinéaste en vogue qui vit entouré de son amant Juan, de sa sœur Tina et de la fille de cette dernière. Quand Juan décide de s’éloigner, Pablo fait la connaissance d’Antonio un jeune homme qui a développé à son égard un syndrome d’obsession allant jusqu’à la psychose. Convaincu que Pablo partage son attachement passionnel, il s’immisce dans sa vie. En découvrant les lettres d’amour que Pablo envoie à Juan, il va être envahi d’une flambée de jalousie qui bouleversera la vie de tous les (...)
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